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2 août 2016 2 02 /08 /août /2016 17:26
10 conseils pour une rentrée sans stress
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11 septembre 2015 5 11 /09 /septembre /2015 07:29
Zen ! Soyons zen ...

Il est malheureusement courant d’être un adulte stressé, par le boulot ou pour plein d’autres raisons, comme le fait de ne pas avoir de job tiens, par exemple. Or le stress est ennemi du bien être ! Et, pour ne rien arranger, 6 personnes sur 10 disent ne pas avoir suffisamment de temps à consacrer à leurs proches ou pour les loisirs, pourtant source de plénitude. Pourquoi ? parce que nous reportons sans cesse le plaisir afin d’accomplir les Corvées …mouais..et bien ce n’est pas folichon tout ça..il serait temps de réagir !!

 

Car non seulement ce fichu stress nous ruine la santé, mais il devient même contagieux ! pire que la grippe ! ... c’est dire…et qui fait les frais de votre état de nerfs ??? vos proches ! et notamment, outre le conjoint, les enfants.

 

Or il est connu que ces petites frimousses reprennent à leur compte les problèmes de papa et maman. Vous racontez devant eux vos problèmes de boulot…et hop un coup de stress pour eux. Vous vous disputez...hop un autre coup de stress. Sans parler de la pression que les parents mettent trop souvent sur leur dos concernant la réussite scolaire, les activités diverses et surtout trop multiples (si si trop multiples..), leur besoin de reconnaissance etc etc... 

 

les causes de stress chez nos bambins sont nombreuses et il est d'ailleurs prouvé que 50 à 75% des enfants d'âge scolaire vivent des problèmes de stress.

 

Alors... que faire 

 

Déjà, sachez que tout parent un tant soit peu tourné vers son enfant pourra régler -du moins en partie- le stress de son enfant…ah bon ?..ouf c’est déjà ça. ..mais, à condition tout de même, de régler son propre stress…ah... ? ouh là ! c’est pas gagné gagné dirait-on..

 

 Quelques règles de bon sens vous aideront cependant à gérer ces périodes difficiles :

 

1 : Soyez à l’écoute de votre enfant et montrez lui que ses inquiétudes vous intéressent

2 : tentez de dédramatiser son angoisse et de l’apaiser
3 : testez votre humour ravageur sur lui... (oui bon bah là encore c’est pas gagné… faites un effort quoi !) 
4 : poussez-le à faire une activité qu’il adore et partagez-la avec lui (je sais ce n’est pas toujours facile de créer des bonhommes en marron, ou de lui montrer votre nullitude en roller... mais c’est pas grave vous aurez le mérite de l’avoir fait rire (ce qui nous reporte à la solution n°3)
5 : faites en sorte qu’il dorme suffisamment, mange bien et équilibré et s’aère

Enfin, si les symptômes du stress (doigts dans le nez, boucles avec le doigt dans les cheveux, pipi au lit, énervement ou apatie.. difficultés de concentration, résistance au sommeil etc..) persistent, allez donc voire un médecin spécialiste.

http://pressegalactique.blogspot.com/2009/10/comment-stresser-son-enfant_31.html

 

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28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 17:59

 

Il y aurait trois phases successives.

La première phase, la phase « logographique »est celle qui est la plus controversée.

Elle correspond au premier contact de l'enfant avec le langage écrit. L'enfant va reconnaître globalement, mais pas précisément, son prénom ou des marques comme « Coca Cola ». L'enfant ne « lit » pas vraiment, il ne distingue que quelques traits saillants du mot et s'appuie sur le contexte (couleur, forme globale). Dans cette phase, il n'y a pas de traitement analytique car l'enfant ne fait pas correspondre les lettres et les sons.

La deuxième, la phase alphabétique.

Si la première phase n'est reconnue comme indispensable à un bon apprentissage de la lecture, il en va tout autrement de la deuxième phase. Les apprentis lecteurs vont devoir prendre conscience qu'entre la langue parlée et la langue écrite, il existe des règles, un principe que l'on appelle « principe alphabétique ». C'est le principe qui fait correspondre aux lettres de l'alphabet soit isolément, soit groupées, des entités phonologiques abstraites que l'on nomme phonèmes.

Après cette prise de conscience, l'élève va devoir acquérir progressivement l'ensemble des correspondances graphophonologiques. Le recours à la forme phonologique des mots est un moyen pour l'élève de rentrer dans le code écrit en se servant de ce qu'il connaît : les mots du langage oral. Un moyen, pas une fin en soi.

Il est d'ailleurs à noter que l'entrée dans le code écrit ne sera pas possible si le mot n'est pas reconnu parce que pas connu dans le langage oral. C'est le cas des élèves qui ont un bagage lexical très pauvre au moment d'aborder l'apprentissage de la lecture.

Le but de l'apprentissage de la lecture, c'est d'abandonner le passage par les sons en se constituant un lexique orthographique qui permet un accès direct au sens des mots.

C'est la troisième phase de l'apprentissage de la lecture : la phase orthographique.


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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 19:59

L’école est un lieu de passage important d’intervenants divers travaillant pour la communauté éducative. Il est important de connaître leurs missions.

Le psychologue

Il met en relation les processus psychologiques et les capacités des enfants. Il a une approche clinique et psychométrique (tests). Il peut proposer des entretiens aux maîtres et aux parents pour faciliter la recherche des conduites et des comportements éducatifs les mieux ajustés.

La prise en charge est individuelle avec l’autorisation des parents.

Le maître E (aide pédagogique)

Il améliore les capacités de l’élève à dépasser les difficultés qu’il éprouve dans ses apprentissages. Il favorise la maîtrise des méthodes et des techniques de travail.

 Il travaille sur les processus d’apprentissage (pré-requis, organisation spatio-temporelle, articulation logico-mathématiques, combinatoire, sens, syllabique, liaison oral/écrit, conscience phonologique).

La prise en charge se fait en groupes restreints (5 ou 6 enfants maximum) sur plusieurs séances de 45 min par semaine.

Le maître G (aide rééducative)

 Il travaille l’estime de soi, d’être élève et d’en assumer le statut (restaurer le désir d’apprendre).

 Il centre ses activités sur le corps, le jeu, la découverte, le désir, l’estime de soi, l’imaginaire en utilisant des outils de médiation (poupées, livres, papier, crayon…)

Intervenants extérieurs

Les intervenants extérieurs peuvent être bénévoles (parents) ou rémunérés par des collectivités territoriales (mairies, SAN..), fédérations ou associations. Chaque intervenant doit obtenir, en premier lieu, un agrément de l’Education Nationale pour pourvoir prendre en charge des élèves sous la responsabilité de l’enseignant.

Ces interventions peuvent être diverses : EPS, musique, BCD, accompagnement, arts-plastiques…

Emploie de Vie Scolaire EVS

Il donne une assistance administrative pour les Directeurs d’Ecole. Il aide à l’accueil, à la surveillance et à l’encadrement des élèves. Il participe à l’encadrement des sorties scolaires

 

Enseignant référent

L’enseignant référent est l’acteur central des actions conduites en direction des élèves handicapés. Il est l’interlocuteur privilégié des parents ou des représentants légaux de chaque élève handicapé.

Il veille à la continuité et à la cohérence des la mise en œuvre du projet personnalisé de scolarisation.

Remarque importante : Art. L114. – Constitue un handicap, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. (Loi du 11 février 2005)

Les auxiliaires de vie scolaire individuelle (AVSi)

Ils sont orientés vers l’aide à l’accueil et à l’intégration individualisés d’élèves handicapés pour lesquels cette aide est reconnue nécessaire par la MDPH (Maison Départementale pour le Handicap). Ils interviennent essentiellement en élémentaire.

Les auxiliaires de vie scolaire collective (AVSCo)

Ils sont orientés vers l’aide à une équipe d’école ou d’établissement, intégrant plusieurs jeunes handicapés dans le cadre d’un dispositif collectif tel qu’une classe d’intégration scolaire (CLIS) ou un unité pédagogique (UPI).

Aide à la Scolarisation des élèves Handicapés (ASEH)

Il facilite l’intégration dans le groupe classe du jeune enfant handicapé en favorisant sa participation aux activités organisées par l’enseignant.

Le médecin scolaire

Il dépiste les difficultés, les problèmes et pathologies pouvant entraver la scolarité et la construction de la personnalité (santé physique et psychique).

Il communique sur l’indication des vaccinations obligatoires et celles préconisées. Il informe, conseille sur le rythme de vie de l’enfant, sur la nutrition, le sommeil, les loisirs…

Lors de la visite obligatoire entre 5 et 6 ans, il fait un bilan de santé de l’enfant scolarisé qui comporte un examen clinique sensoriel, somatique, neuro-moteur, phonologique en présence des parents. Ce bilan de santé permet d’évaluer l’état de santé, la maturité neuromotrice et les capacités langagières nécessaires à l’apprentissage.

A la demande, il peut faire un bilan tout au long de la scolarité. Un bilan d’évaluation des dyslexies peut être réalisé dès le CE1.

Un bilan régulier est réalisé auprès des élèves bénéficiant d’un structure ou d’un dispositif scolaire adapté (CLIS, UPI, SEGPA).

En cas d’inaptitude partielle ou totale à une activité sportive, un certificat descriptif est remis à l’élève, renseigné par le médecin traitant à l’attention du médecin scolaire.

Il participe à l’accueil des élèves porteurs de pathologies ou problèmes évoluant sur une longue période. Il aide à la mise en place de PAI (Projet d’Accueil Individualisée).

Il intervient auprès des enfants en danger, victimes de maltraitance physiques, psychiques ou de violences sexuelles.

 L’infirmière scolaire

Elle intervient auprès des élèves de grande section, et de CM2, dans le cadre de la prévention.

 

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 12:11
Cliquez sur le lien pour télécharger l'article " Quel pique-nique préparer pour les sorties scolaires"

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 16:58

 

L’heure des devoirs…

 

Tous les soirs, c’est le cauchemar. Junior et Fillette sont prêts à inventer tous les subterfuges imaginables pour éviter d’avoir à s’asseoir à leur table de travail, avec manuels scolaires et coffre à crayons. C’est trop difficile, ils vont y passer la soirée et, de toute façon, ils n’ont pas besoin de connaître leurs tables de multiplication, puisque l’ordinateur peut faire tous ces ennuyants calculs pour eux !

Tous les soirs, vous usez des manières les plus hétéroclites, des doucereuses promesses aux prises de becs titanesques, pour encourager vos écoliers rébarbatifs à s’atteler à la tâche. Mais la mission semble impossible? Il est alors grand temps de découvrir les astuces et stratégies prodiguées par des spécialistes (et livrées par votre site préféré!) pour permettre à toute votre maisonnée de passer à travers l’heure des devoirs sans trop d’écorchures.

 

devoir-maison.jpg

 

Les conseils d' Isabelle Pauzé :

 

1- Faites comprendre à votre enfant que ses travaux scolaires relèvent de sa responsabilité et qu’il doit en répondre à son enseignant et non à vous. Pour ce faire, vous devez le stimuler dans sa quête d’autonomie, en adoptant une attitude qui évite à la fois la surprotection et l’autonomie trop précoce.

2- Ne retirez pas à votre enfant sa responsabilité personnelle en excusant ses actes ou en reportant tous les torts sur l’école. En ce sens, n’hésitez pas à faire refaire un travail bâclé.

3- Prévoyez un endroit calme, aéré et bien éclairé pour les devoirs de votre enfant. Décidez ensemble d’une routine concernant l’horaire d’exécution des travaux.

4- Invitez votre enfant à commencer par les devoirs les plus faciles à faire ou par ceux qu’il aime le plus.

5- Guidez sans enseigner. Votre jeune écolier a besoin d’un seul professeur. Accompagnez-le dans ses travaux scolaires à la maison en vous rappelant que trop aider est aussi nuisible qu’aider trop peu.

6- Respectez le rythme d’apprentissage de votre enfant. À exercer trop de pression pour accélérer son apprentissage, vous ne provoquerez qu’un stress de la  performance et des échecs;

7- Soulignez régulièrement et par des exemples concrets les forces de votre jeune et les efforts qu’il déploie. Signifiez-lui que vous avez confiance en ses capacités. L’estime de soi est à la base de la motivation.

8- Amenez votre enfant à anticiper le plaisir qu’il peut retirer de ses travaux scolaires et à comprendre ce que lui rapporteront ses efforts. Pour ce faire, il faut que le contenu des devoirs et des leçons soit stimulant. Au besoin, inventez des jeux.

9- Expliquez à votre écolier en quoi les devoirs et les leçons ont une utilité concrète dans sa vie présente et future. Stimulez sa curiosité intellectuelle en l’amenant à faire des liens entre ce qu’il apprend et la vie réelle.

10- Amenez votre enfant à comprendre que les erreurs sont normales et qu’elles lui fournissent l’occasion de découvrir de nouveaux moyens de relever des défis. Aidez-le à persévérer dans ses efforts et à terminer ce qu’il a commencé. 

11- Aidez votre enfant à planifier un travail qu’il doit remettre plus tard ou à préparer un examen qu’il doit subir, en prévoyant avec lui la succession des étapes de même que la durée et le temps à consacrer à chacune en fonction de l’échéance. 

12- Si votre enfant manifeste une trop grande lenteur d’exécution, faites-lui remarquer, sans le blâmer, les moments où il perd du temps. Cela l’aidera à s’ajuster.

13- Si votre enfant éprouve des problèmes particuliers, encouragez-le à parler avec son enseignant afin de trouver des moyens de régler ses difficultés. 

14- N’oubliez pas qu’un enfant ne peut assumer ses responsabilités d’écolier si on ne lui a pas confié, au préalable, de petites responsabilités à la maison (faire son lit, participer aux corvées ménagères de la maisonnée, etc.)

15- N’oubliez pas que pour motiver un enfant à lire ou à écrire, il faut prêcher par l’exemple et montrer un intérêt manifeste pour ses matières scolaires.

 

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 05:59


image type de parents

 

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 12:36

lire-p1.jpg

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